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Le colonialisme numérique

au sein de la culture visuelle

De nos jours, le colonialisme numérique crée de la valeur sur la base de l’exploitation historique. En plus de tirer profit des données, la création d’infrastructures numériques implique également l’utilisation abusive des ressources naturelles et la domination de la nature, ce qui a pour effet une accentuation de l’injustice. Les images jouent ici un rôle essentiel, mais ambivalent.

de Katrin Köppert

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Illustration de Zoran Svilar

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Traductions disponibles: DeutschEnglish
Publié: 20.12.2021

Katrin Köppert, spécialiste des médias et critique d’art, est actuellement professeur-e suppléant-e à l’Institut für Medienwissenschaft der Ruhr de l’Université de Bochum. Au semestre d’hiver 2022, Katrin Köppert réintégrera la Hochschule für Grafik und Buchkunst de Leipzig en tant que professeur-e assistant-e. Parmi ses domaines de recherche figurent les théories (médiatiques) postcoloniales et décoloniales de l’anthropocène ou des infrastructures du numérique, des genres, des races et de la photographie, la théorie Queer Media et les études des émotions, les courants féministes (post-numériques), l’intelligence artificielle et le domaine artistique.